Le travail comme facteur de performance et d’épanouissement personnel

Les ressources d’IPAL en faveur de la Qualité de Vie au Travail (QVT)

L’amélioration des conditions de travail est un axe majeur de la QVT. IPAL a mis en place des ateliers thématiques qui correspondent aux besoins de santé physiques et psychologiques observés chez les salariés par nos équipes médicales et paramédicales.

Selon le cas, ces prestations sont réalisées en intra-entreprise (dans vos locaux) ou en inter-entreprises (dans nos locaux) et leur coût est compris dans le montant de votre adhésion.

Un conseil professionnel en nutrition pour éviter les maladies liées à l’alimentation, entretenir ou recouvrer son poids de santé et s’adapter à ses conditions de travail.

À l’heure où la prévention primaire prend toute sa place en santé au travail, l’offre d’un conseil professionnel en nutrition destinée à favoriser le maintien en santé de la population salariée s’avère plébiscitée par les entreprises et nécessaire.  Dans le cadre de votre adhésion au service de santé au travail, IPAL vous propose l’intervention d’un nutritionniste diplômé.

Les besoins nutritionnels varient aussi en fonction des conditions de travail

Parmi les besoins de santé primaire, l’alimentation figure au premier plan.  Bien entendu, la réponse individuelle aux besoins nutritionnels dépend de facteurs multiples liés à l’âge du salarié, à son état de santé et à ses habitudes sociales et culturelles. Cependant, la réponse nutritionnelle devrait aussi répondre aux conditions de travail auxquelles le salarié est exposé. Par exemple, les dépenses énergétiques d’un salarié sédentaire (travail habituel et prolongé devant écran) sont susceptibles d’être différentes de celles d’un salarié exposé au froid négatif d’un entrepôt frigorifique ou d’un préparateur de commandes portant des charges.

La moitié de la population française souffre d’un problème de poids

Par ailleurs, 54 % des hommes et 44 % des femmes sont en surpoids ou obèses et cette prévalence augmente avec l’âge. Parmi les facteurs connus de dérégulation alimentaire, on cite : la consommation d’aliments hautement transformés,  les habitudes culturelles, le manque de temps et d’activité physique, les horaires de travail atypiques et dans certains cas, les difficultés d’accès à une alimentation saine, l’absence de matériels  de réchauffement et/ou de mise à disposition d’un lieu serein organisé à cet effet.

L’intervention collective et individuelle pour agir à plusieurs niveaux : 

  • Sensibiliser les salariés de votre entreprise à l’équilibre alimentaire (ateliers diététiques,  présentations collectives dans les locaux de l’entreprise)
  • Accompagner les salariés dans l’optimisation de leur alimentation en fonction des expositions professionnelles auxquelles ils sont soumis
  • Inciter les salariés à agir pour prévenir les maladies liées à l’alimentation (obésité, diabète…)
  • Aider les salariés à améliorer leurs habitudes alimentaires :
    • en vue d’une perte de poids
    • ou du maintien d’un poids de santé
  • Prendre en charge les salariés atteints de maladies liées à l’alimentation
    • consultation en nutrition (de 40 min à 1h)
  • Proposer un suivi nutritionnel à 6 mois aux salariés qui le souhaitent

Pour toute information complémentaire, contacter Tharsie Kannathasan, chargée de nutrition :

tkannathasan@ipal.fr

Certes, les études manquent encore sur ce sujet et à présent, il est admis que la prévention des TMS passe avant tout par l’aménagement matériel et organisationnel des postes de travail. Cependant, chacun sait que la pratique régulière d’exercices adaptés permet d’éviter d’avoir mal ou de se blesser.

Cette prestation remporte un franc succès parmi les salariés coachés. A la suite, il n’est pas rare que les entreprises nous demandent de former des salariés « référents éveil musculaire » au sein de leurs équipes.

On y travaille…

Connaître les éléments déterminants de la fatigue et de la somnolence au travail et adopter des conduites efficaces pour éviter la dette de sommeil et rester performant durant la période de veille.

La somnolence est susceptible d’entraîner des risques non négligeables pour la santé, la sécurité et la performance au travail et dans la vie de tous les jours. Dans le cadre de votre adhésion au service de santé au travail, IPAL vous propose une séance d’information sur les déterminants de l’hygiène du sommeil, ainsi que des outils pour identifier et éviter la dette de sommeil.

La dette de sommeil entraîne l’apparition d’un « syndrome pseudo-dépressif »

Nos Visites d’Information et de Prévention (VIP) montrent qu’un grand nombre de salariés souffrent d’une dette de sommeil d’origine multifactorielle, qui altère leur vigilance en période de veille et détériore la qualité de vie au travail. Or, la dette de sommeil est susceptible d’entraîner l’apparition d’un « syndrome pseudo-dépressif » délétère pour le bien-être, la sécurité et la performance.

Le sommeil ne devrait pas être perçu comme une perte de temps

Le fait est que nous avons perdu en moyenne 1h30 de sommeil/24h depuis les années 1950, alors que depuis cette date, nos besoins quantitatifs de sommeil n’ont pas changé dans la population adulte. En cause, la multiplication croissante des sollicitations cognitives et des injonctions sociales. Désormais, le sommeil est davantage perçu telle une perte de temps, un besoin handicapant que l’on adapte en fonction de son mode de vie. 

La somnolence est responsable de 20% des accidents mortels de la route

Enfin, les statistiques de l’accidentologie routière montrent que la somnolence est responsable de 20% des accidents mortels de la route (INSV). Par ailleurs, on sait que sur le plan cognitif, 17 heures de veille active équivalent à une alcoolémie de 0,5g/L. Par conséquent, le lien entre la dette de sommeil et l’altération de la qualité de présence à soi et aux autres n’est plus à faire.

Réhabiliter le sommeil en tant que besoin primaire

Il apparaît donc primordial de réhabiliter le sommeil en tant que besoin primaire auquel nous n’avons pas d’autre choix que de répondre dans les meilleures conditions possibles. Le plus souvent, il suffit de reprendre de « bonnes habitudes » et de remettre nos modes de vie modernes  à leur place. Parfois, il convient de « composer » avec une organisation du travail contraignante pour nos rythmes biologiques. Enfin, lorsque  certains signes s’installent de manière persistante, un avis médical s’impose.

Les objectifs de la séance d’information :

  • Rappeler la nature cyclique de l’être humain et informer sur le cycle veille/sommeil.
  • Savoir identifier le besoin quantitatif individuel de sommeil
  • Savoir identifier l’état de fatigue (difficulté à rester concentré), l’état de somnolence (difficulté à rester éveillé) et la conduite à tenir pour remédier à l’un et à l’autre.
  • Inciter les participants à se réconcilier avec leurs besoins individuels de sommeil et à créer les conditions endogènes (état d’acceptation, de relaxation, état nutritionnel) et exogènes (environnement, organisation, activité physique)  d’un sommeil réparateur.
  • Donner des pistes organisationnelles aux participants exposés à des horaires de travail atypiques.
  • S’entraîner à s’endormir (baisse de la vigilance et baisse du tonus musculaires, astuces de décharges de l’anxiété).
  • Identifier les signes qui doivent faire penser à un trouble du sommeil nécessitant un avis médical.

Contenu de la prestation :

  • 6 à 8 panneaux d’exposition
  • Vidéos d’information (en boucle)
  • Autoévaluation de l’état de somnolence
  • Mise à disposition de supports documentaires
  • Atelier/séance de  «méditation à visée d’endormissement » reproductible à domicile par les participants.

Apprendre par l’expérimentation à se détendre, à lâcher prise et à mobiliser ses ressources intérieures

Il serait illusoire de penser que les pratiques psycho-corporelles peuvent servir d’alternative à une véritable démarche collective de prévention des Risques Psycho-Sociaux. Cependant, de telles initiatives ne sauraient s’exclure l’une l’autre. Au contraire, elles peuvent se compléter. Ressentir ce qui est bon pour soi et se rendre compte que l’autre n’est pas différent, c’est un pas supplémentaire dans la recherche d’une communication apaisée et efficace.

Objectifs :

  • S’interroger sur le lien existant entre les tensions corporelles et l’état mental.
  • S’informer :
  • Qu’est-ce que la Sophrologie, quels sont les exercices proposés et à qui s’adressent-ils.
  • Modalités d’une séance de Sophrologie.
  • Expérimenter par la pratique :
  • Exercices dits de « Relaxation dynamique »
  • Exercice dits de « Sophronisation»
  • Échanger avec l’intervenant sur toute problématique  relative aux pratiques psychocorporelles dont on vient de faire l’expérience.
  • Poursuivre l’expérience de « Sophrologie en entreprise » par la création d’un  groupe accompagné « ouvert » ou « fermé » de salariés  volontaires.

Une journée d’information et d’exercices pratiques dédiée à la Méditation de Pleine Conscience, pour s’initier à une nouvelle façon d’être Soi au travail et dans la vie de tous les jours

Les bienfaits de la Méditation de Pleine Conscience sur la santé physique et mentale ne sont plus à prouver sur le plan scientifique et la méthode rencontre un succès croissant dans les entreprises du monde occidental. Dans le cadre de votre adhésion au service de santé au travail, IPAL vous propose une journée d’initiation à la Pleine conscience, animée par une instructrice certifiée.

Commencer un Comité de Direction par une courte séance de méditation de pleine conscience, cela commence à se faire

Loin de se substituer aux mesures collectives souhaitables pour améliorer les organisations du travail susceptibles de fragiliser les salariés, la pratique individuelle ou en groupe de la méditation de pleine conscience (Mindfulness, en anglais) contribue à agir efficacement en prévention primaire et tertiaire sur la Qualité de Vie au Travail, tant sur le plan individuel que collectif. Les grandes entreprises françaises qui commencent leurs Comités de Direction par une courte séance de méditation de pleine conscience se multiplient… Et c’est un bon signe.

Couper court au « pilote automatique »

Les modes de vie contemporains, soumettent l’être humain à des stimuli multiples et à de nombreuses contraintes sociales et organisationnelles qui l’exilent hors de lui-même et le conduisent fréquemment à fonctionner en « pilote automatique », à faire plutôt qu’à être. Il en résulte un état de fatigue et de perte de sens, parfois aggravé par une organisation du travail qui malmène et fragilise la personne au travail.

La méditation de pleine conscience inverse les mécanismes biochimiques de réponse au stress et renforce la capacité de l’organisme à réguler des fonctions

La pratique de la pleine conscience consiste en un entraînement progressif de l’esprit par l’attention et la présence à soi, à son corps, à ses pensées et à ses émotions. En cultivant une attention non-réactive, bienveillante, curieuse et très réceptive, la pleine conscience facilite l’ouverture à la réalité présente  telle qu’elle se déploie, instant après instant et sans jugement. Elle permet de mieux se comprendre et d’agir avec sagesse. Elle amène une sérénité qui s’accroît avec l’entraînement, améliore la confiance en soi et renforce tant la capacité de concentration et de discernement que celle de se montrer bienveillant envers soi-même et les autres. Sur le plan biologique, la méditation de pleine conscience inverse les mécanismes biochimiques de réponse au stress et renforce la capacité de l’organisme à réguler des fonctions.

Une méthode de méditation adaptée au monde occidental

Cette méthode de méditation a été adaptée et codifiée par le Docteur Jon Kabat Zinn à partir de méthodes traditionnelles, expurgées de toute notion philosophique ou religieuse. Les bienfaits de la Mindfulness sur la santé physique et mentale ne sont plus à prouver sur le plan scientifique et la méthode rencontre un succès croissant dans le milieu médical ainsi que dans les entreprises du monde occidental.

Les objectifs de notre journée d’initiation :

  • S’informer sur la méditation de pleine conscience
  • Prendre conscience de notre fonctionnement mental en « pilotage automatique »
  • Savoir focaliser son attention sur un objet (externe ou interne) situé dans le présent
  • Entraîner son esprit à rester dans le présent
  • Identifier la nature des pensées et les accueillir sans jugement
  • Apprendre à identifier ses émotions dans le corps, les localiser, les accepter et les laisser passer.
  • Percevoir le passage du faire à l’être

Les addictions : un risque professionnel à prévenir sans complaisance et surtout sans honte ni tabou.

IPAL vous propose une demi-journée pour informer, sensibiliser et orienter vos collaborateurs

Cette séance d’information a été conçue spécialement à l’attention de l’ensemble des salariés de votre entreprise et vise plusieurs objectifs complémentaires :  Les 4 Substances psychoactives (SPA) les plus consommées parmi les travailleurs sont le  tabac, l’alcool, le cannabis et les médicaments psychotropes. La séance est conçue pour sensibiliser les salariés aux effets sur la santé d’une consommation occasionnelle ou répétée de SPA.

Lors de cette séance, un accent particulier est porté sur les risques d’une consommation de SPA pour la sécurité au travail.

Nous fournissons l’information sur les recommandations en vigueur, afin que les salariés adoptent des comportements destinés à éviter les conduites addictives et sachent se protéger du risque d’addiction.

Et enfin, lorsque les repérage permet de mettre en évidence une conduite addictive liée à la consommation d’alcool, de cannabis et autres produits psychotropes, l’équipe oriente les salariés désireux d’être accompagnés.

                Nos outils :

  • Atelier « verre standard dose  servie  en brasserie ». 
  • Atelier présentation de substituts  nicotiniques.

Les chiffres sont éloquents

  • Tabac : 13 millions de consommateurs quotidiens
  • Alcool : 8 millions de consommateurs quotidiens
  • Psychotropes (anxiolytiques, antidépresseurs, etc ) : presque 2.4 millions  d’usagers quotidiens
  • Cannabis : 850000 usagers quotidiens
  • entre 10 à 20 %  des accidents du travail résulteraient de conduites addictives
  • 30% de la mortalité précoce serait liée à  des conduites addictives

Un enjeu de santé au travail et de santé publique

Le travail prend une place considérable dans nos vies et notre santé sociale dépend de notre activité professionnelle à plus d’un titre. Il est admis que l’exercice d’une activité professionnelle reste globalement un facteur de protection contre les conduites addictives et le travail est également devenu un lieu d’épanouissement personnel revendiqué. Néanmoins, nombreux sont ceux qui sont soumis à l’exercice périlleux de maintenir l’équilibre  entre la vie privé /familiale, la  vie sociale et la vie professionnelle. Par ailleurs, certaines situations  et contextes professionnels  sont de nature à favoriser la consommation de SPA. Pour certains, il s’agit de « tenir » pour satisfaire l’ensemble de ces exigences.

La mission de prévention primaire et secondaire des équipes de santé au travail consiste à repérer, à dépister, à sensibiliser et à accompagner, afin que le salarié abstinent ou ayant un usage simple puisse entretenir des comportements avisés et pour que les salariés dont les habitudes présentent des risques pour la santé, acquièrent la connaissance nécessaire et bénéficient d’un accompagnement adapté pour modifier leurs habitudes de vie.

La prévention des conduites addictives, c’est l’affaire de tous.

Crédit photo : © CLAUDE PRIGENT/ TGB/ MAXPPP

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